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Journée commémorative de l'abolition de l'esclavage en France métropolitaine

Le 27 avril 1848, la France adopte le décret d’abolition de l’esclavage.

La France est le premier État et demeure le seul qui, à ce jour, a déclaré la traite négrière et l’esclavage "crime contre l’humanité".

Le président de la République française français, Jacques Chirac, avait décidé de faire du 10 mai la Journée commémorative de l'abolition de l'esclavage.

Au-delà de l'abolition, la journée devrait engager une réflexion générale sur l'ensemble de la mémoire de l'esclavage, longtemps refoulée, pour la faire entrer dans notre histoire. L'occasion aussi de s'interroger sur la façon dont la mémoire de l'esclavage peut trouver sa juste place dans les programmes de l'école primaire, du collège et du lycée. La volonté également de développer la connaissance scientifique de cette tragédie. Enrichir notre savoir, c'est le moyen d'établir la vérité et de sortir de polémiques inutiles.

La date du 10 mai correspond à l'adoption par le Parlement, le 10 mai 2001, de la loi Taubira "reconnaissant la traite négrière transatlantique et l'esclavage".

Aujourd'hui, l'esclavage existe encore.
  • en Afrique, on vend des jeunes filles, on force les mariages, on vend les enfants, on fait de l'immigration un vrai traffic d'êtres humains. Certaines ambassades africaines en France pratiquent l'esclavage envers leur personnel. Sous couvert d'immunité diplomatique, des diplomates africains sont impunis. Il faut changer la convention de Vienne et punir ces gens qui n'hésitent pas à traîter de racistes ceux qui les dénoncent.
  • En Amerique du Sud, on exploite les enfants dans les mines.
  • En Asie, les grandes marques de textiles utilisent les enfants pour fabriquer des vêtement de marques, vendus très chers.
Un site à visiter : www.comite-memoire-esclavage.fr (10-05-2017)